dimanche 4 avril 2010

Saloperies de nases, connards finis.

Je fais un rêve.

Je rêve d'un monde où les amoureux pourront s'aimer sans entraves. Où les jaloux seront impuissants face à la tendresse, où chacun sera libre de s'aimer, en paix.

Je rêve de liberté. De liberté de nos choix, dans nos mouvements. De transports libres, soumis aux lois du marché, où les transportés sont rois.

Je rêve d'une gare. D'une Gare de l'Est où, quand on arrive avant que ne parte le train pour Troyes de 12h13, et qu'on embrasse sa Tortue, le contrôleur, doté d'un QI supérieur à 60, vous prévient du départ imminent et ne vous laisse pas essayer d'ouvrir comme des cons une porte qui se ferme - et dont il sait qu'elle ne se rouvrira pas.

Merci, la SNCF.

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